La danse angolaise
La danse angolaise qui captive le monde Mabor. Un entrelacs de rues de terre battue, au coeur de Luanda. D’une cour jaunie par la poussière montent quelques notes d’une musique entraînante. Pour les jeunes du quartier, c’est l’heure du cours de kizomba, la danse angolaise qui a conquis le monde. « Stop ! Les garçons restent […]
La danse angolaise qui captive le monde
Mabor. Un entrelacs de rues de terre battue, au coeur de Luanda. D’une cour jaunie par la poussière montent quelques notes d’une musique entraînante. Pour les jeunes du quartier, c’est l’heure du cours de kizomba, la danse angolaise qui a conquis le monde.
« Stop ! Les garçons restent immobiles, maintenant seules les filles bougent. Voilà, comme ça, c’est bien ». Engoncé dans une chemise d’un violet éblouissant, Vitor Espeçao harangue ses élèves comme un officier ses troupes à la manoeuvre.
Les danseurs s’exécutent. Sous l’oeil intéressé d’une poignée de gamins, les corps chaloupent, se déhanchent et s’enroulent de façon de plus en plus suggestive.
« C’est ce que j’aime dans cette danse », s’enthousiasme leur professeur, « la joie, l’allégresse et l’harmonie ».
Zuletzt geändert am 28.02.25, 13:44 Uhr
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